Un ami à moi m'a demandé de publier un article qu'il vient d'écrire concernant l'application dans l'église aujourd'hui du texte de 1 Corinthiens 11 v 2 à 16 sur le port du voile par les femmes.
La deuxième édition de cet article s'intitule Un colosse aux pieds d'argile, Position culturelle dans 1 Corinthiens 11.2-16. Au-delà de sa thématique originelle appliquée au port du voile, il pourrait donner lieu à une réflexion et à des échanges intéressants pour toute question concernant les pratiques courantes de l'église qui ne trouvent pas leur origine explicite dans la pratique néo-testamentaire.
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Salut Daniel,
Je ne comprends pas d'où vient la suggestion de réfléchir et d'échanger sur "toute question de pratiques courantes de l'église qui ne trouvent pas leur origine explicite dans la pratique néo-testamentaire". J'aimerais bien comprendre ce qui motive cette suggestion contradictoire, car le but du document est justement de démontrer que la pratique du port du voile trouve son "origine explicite dans la pratique néo-testamentaire" et qu'elle est encore valable aujourd'hui.
En terminant, je voudrais faire encore remarquer que la deuxième édition contient beaucoup d'ajouts importants, notamment des citations de John Piper et Wayne Grudem tirées du collectif Recovering Biblical Manhood and Womanhood, ainsi qu'une solide exégèse du verset 15 démontrant que la chevelure de la femme ne peut remplacer le voile dans le contexte de 1 Corinthiens 11.
Fraternellement,
Bruno
Bonjour Bruno,
Ta question est très pertinent et je te remercie de l'avoir exprimée. J'ai voulu mettre la table pour un échange potentiellement plus large que la stricte portée de ton article. Car, pour moi, le port du voile est une pratique bien difficile à comprendre pour nos contemporains. Je comprends bien qu'il s'agit là d'une pratique qui est tirée des textes bibliques et appuyée par un enseignement de Paul avec fondement théologique.
Alors je trouve que ta question permet de recadrer l'échange de manière plus spécifiquement associée directement à ta thématique, ce qui n'était pas aussi clairement le cas avec mon commentaire originel d'introduction. J'avoue que cette question est vraiment loin de mes préoccupations. Mais en lisant la première version de ton article, je me suis rendu compte qu'il y a des questions que l'on ne se pose plus sur toutes sortes de sujets importants, d'où l'orientation initiale plus large que j'ai tenté de donner.
Concernant ton commentaire à propos de l'enrichissement apporté à ton article dans sa seconde édition, je compte le lire dès que je le pourrai. J'avais lu le premier article avant de le publier, je lirai maintenant le deuxième article et te dirai alors ce que j'en pense.
Cordialement,
Daniel
