Apprentissage technique :
Développer un site web multilingue
le 16 janvier 2014
La traduction de www.savoiretcroire.ca représente un défi important. Cette page concerne spécifiquement la production d'un site navigable en plus d'une langue. Ma démarche d'autoformation à cet égard a été structuré autour des étapes suivantes :
- Du 2 février au 11 mai 2013, je m'appuyais sur le gabarit web de Arcsin pour développer la structure de navigation monolingue du présent site web.
- Les 12 et 13 mai, procédant par essai et erreur et en m'inspirant des sites bilingues ou multilingues qui se trouvaient sur le web, je réussissais à appliquer à la page d'accueil une structure de navigation trilingue.
- Le 13 mai 2013, disposant d'une structure de navigation trilingue, j'ai choisi de préparer immédiatement une traduction anglaise et espagnole du texte de base de la page d'accueil de www.savoiretcroire.ca.
- En février et mai 2013, je produisais le texte de base en français seulement de toutes les autres pages de la version de mon site web qui existait à ce moment là.
- Lors donc que www.savoiretcroire.ca fut mis en ligne, le 20 mai 2013, seule la page d'accueil avait été traduite. Les autres pages du site étaient en français.
- Du 11 au 31 octobre, la structure de navigation trilingue de la page d'accueil a été appliquée à tout www.savoiretcroire.ca, en même temps que s'amorçaient les travaux de traduction anglaise et espagnole des autres pages.
- C'est dans le cadre de ces travaux de traduction que j'ai découvert l'existence des concordanciers Linguee et WeBiText. Ces outils fournissent un aperçu rapide de l'usage courant de termes ou expressions précises, ainsi que leurs équivalents dans d'autres langues. Le second, WeBiText, a ceci d'intéressant : il permet de préciser un corpus à partir duquel les recherches sont faites, par exemple tous les sites du gouvernement du Canada, ou encore un site web de notre choix.
- C'est dans un tout autre contexte qu'une collègue de travail a attiré mon attention sur l'existence de Lexilogos, un site Web dans une catégorie à part, car il fournit de multiples outils : dictionnaires unilingues, dictionnaires de traduction, claviers permettant de saisir les caractères spéciaux de certaines langues, et plus encore.
L'une des plus grandes difficultés associées à cette tâche de traduction présentement en cours est probablement celle de déterminer où je place mes priorités. D'une part, il n'était pas toujours évident de décider quelles pages il serait préférable de traduire en premier et vers quelle langue. D'autre part, j'ai parfois jugé utile d'interrompre les travaux de traduction pour parachever le contenu de certaines pages web jusque là restées plus schématique que je ne le souhaitais. Mais surtout, je voulais éviter de me laisser absorber par mon engouement pour cette entreprise de traduction pour moi très motivante, alors qu'il existe bien d'autres dimensions à ma vie.